Pourquoi @tchoum ?
Atchoum est la mascotte de la famille, c’est notre chat.
Bien entendu, pour nous il est magnifique, et donc photographié : vous trouverez une galerie qui lui est consacrée.
Il nous inspire tous par sa beauté, son calme et sa grande indépendance. Nous sommes devenus adeptes de la « RonRonThérapie ».
En tant que petit dernier de la famille, il est choyé par tous et a récupéré de nombreux surnoms : @tchoum, Tchoum, Tchoumba, Monsieur Tchoum, Mini-Chat, Mini-Cat, Gros-Pépère et Perd-Ses-Poils…
Et aujourd’hui, peut-être pour lui rendre hommage, il donne son nom à ce site de photographie.
Malheureusement Atchoum nous a quitté fin septembre 2020, il venait d’avoir 15 ans. Il a été un Chat Merveilleux qui nous a tant apporté…
Matériel photographique :
Heureusement, il ne suffit pas d’avoir du bon matériel photographique de marques réputées pour prendre de belles photos : à l’inverse, certains en font même de magnifiques avec du matériel modeste.
Néanmoins, la qualité, l’ergonomie, et les performances du matériel participent au plaisir du photographe et (un peu, beaucoup?) au résultat, surtout lorsque l’on a affaire à une photo d’exception (émotion, mise en valeur du sujet, expression, lumière, contraste, couleur, cadrage, timing…), qui peut alors être agrandie dans de belles proportions lors d’un tirage grand format.
Alors voici quelques paragraphes pour les curieux, les photographes ou les technophiles…
Le premier appareil photo de Patrick lui a été offert par son parrain à sa communion (un Retina S2 de Kodak, compact 24×36 avec objectif Schneider Kreuznach Reomar 45mm f/2,8). Il s’offre son premier Reflex 24×36 l’année d’après son BAC C : un Minolta SRT101 avec un objectif MC Rokkor 50mm f/1,4, avec lequel il a réalisé plusieurs reportages de mariage (flash Braun automatique NG 42 pour objectif de 50mm et ISO100) pour se faire de l’argent de poche pendant ses études supérieures.
Suite à un vol de son matériel, il a enchainé les boitiers Minolta : XD5 (priorité ouverture) avec zoom Minolta MD 35-70mm f/3,5, puis le premier Reflex à mise au point autofocus en 1985 (Minolta AF 7000) avec deux zooms autofocus, un AF 35-70 f/4 et un AF 70-210mm f/4 qu’il possède toujours, puis un Minolta 9xi avec zoom Angénieux AF 28-70mm f /2,6, malheureusement tous les deux volés.
Il continue avec un Minolta Dynax 7 argentique (summum d’ergonomie et de qualité de visée) et deux zooms d’exception Minolta série G : un AF 28-70mm f/2,8 et un AF 80-200mm APO HS f/2,8.
Lorsque les boitiers numériques Reflex sont arrivés sur le marché, ils étaient très chers, pas très sensibles et très limités en terme de dynamique (gérer les hautes lumières n’était pas simple) : de plus Minolta tardait à venir sur le marché. Patrick a donc d’abord touché au numérique avec un étonnant petit boitier non reflex, Olympus C40 zoom (4 Mpixels). Puis il a enfin investit dans un Konica-Minolta Dynax 7D (6M Pixels) dont l’ergonomie et la visée extraordinaires étaient totalement identiques à celles du Dynax 7 argentique : l’inconvénient était d’utiliser les mêmes zooms avec ce rapport (d’équivalence) de focale de x1,5 dû au format APS-C du capteur. Il lui manquait des focales plus courtes, un zoom 16-35mm par exemple.
L’arrivée du premier reflex plein format Sony Alpha 900 (24M Pixels) le décide à passer le cap du plein format (plutôt qu’à investir dans un zoom 16-35mm) pour retrouver les focales d’origine. Il continue d’utiliser ses deux zooms Minolta qui « s’améliorent » grâce à l’ajustement micro-focus du A900 (important pour la netteté sur les yeux dans les portraits avec peu de profondeur de champ) : il semble être arrivé à une sorte de quintessence matérielle pour l’utilisation qu’il en a.
Néanmoins pour les voyages et les destinations lointaines, ce matériel n’était pas forcément adapté de par son poids et son encombrement. Il se tourne alors en parallèle vers un petit boitier numérique Fujifilm X10 (capteur 2/3 de pouce de 12 MPixels), petit bijou d’ergonomie, très sympathique, mais revendu à cause de la taille limitée du capteur (bruit en basse lumière), et vite remplacé par un Fujifilm XE2 (capteur APS-C de 16 MPixels) avec deux zooms Fujinon stabilisés, performants en terme de piqué : un XF18-55mm f/2,8-4 R et un XF55-200mm f/3,5-4,8 R.
Il choisit alors d’utiliser tel ou tel matériel en fonction des contraintes de prise de vue : le Sony A900 avec capteur plein format reste indispensable avec sa qualité de viseur optique pour le studio et les reportages de mariage qu’il aime toujours réaliser pour son plaisir en parallèle avec son activité professionnelle prenante (management commercial dans le domaine des technologies de l’information), le Fujifilm XE2 pour les voyages et la discrétion de prise de vues.
L’arrivée de la deuxième génération (beaucoup plus mature) des Alpha 7 de Sony (Hybride de taille réduite par rapport à un Reflex) le convainc de revendre (très bien du reste) ses deux superbes cailloux Minolta de 20 ans d’age et son Sony Alpha 900 : en effet un Sony A7R2 (avec capteur 24x36mm de 42Mpixels) nécessite désormais les toutes meilleures optiques à focale fixe et n’aurait pu se satisfaire des vénérables zooms Minolta, dépassés en terme de résolution optique, de vitesse (et de bruit) de mise au point.
Il a réinvesti progressivement dans cinq optiques de très bonne facture (voir site DxOMark) dont deux Sony-Zeiss : tout d’abord un Sonnar 55mm f/1,8ZA pour le portrait et la photo de tous les jours, puis dans un Sonnar 35mm f/2,8ZA compact, remarquable par sa discrétion pour la photo de rue, le reportage et les voyages, un Sony série-G Macro 90mm f/2,8 pour la macro et le portrait, un Zeiss Batis Distagon de 25mm f/2 pour le paysage et la photo de rue, complété plus récemment par un Zeiss Batis Apo Sonnar de 135 mm f/2,8, formidable pour le portrait.
Les images sont impressionnantes de précision et de contraste. Il a néanmoins fallu réapprendre à cadrer en l’absence de zoom et s’habituer à la profondeur de champ très limitée sur ce niveau de résolution en plein format.
À l’automne 2020, l’évolution suivante a été de passer sur le A7R4 avec capteur 24x36mm de 61 Millions de Pixels : fantastique !
Le photographe passionné continue d’évoluer : il investit fin 2022 d’une part dans la seconde version du zoom Sony FE 24-70mm f/2,8 GM II. Pas totalement au niveau des focales fixes (piqué, poids, encombrement), mais tellement de confort de cadrage… Et d’autre part, dans un studio photo : support de fonds d’écran de 3 m, deux flash Elinchrom ELC 500, avec parapluie Deep Blanc 125cm et boite à lumière Rotalux Octabox 135cm : de nouveau accès au subtil modelage de la lumière sur les modèles…
Au printemps 2023, l’appel de la nature se faisant plus présent, un zoom Sony FE 100-400mm f/4,5-5,6 GM vient compléter son équipement : le héron cendré et la Lune se rapprochent…
Puis en 2024, une nouvelle focale : un Zoom Sony FE 70-200 f/4 Macro G OSS II (bon piqué, prix, poids et encombrement raisonnables), avec un multiplicateur de focale X1,4 de Sony…
Enfin un deuxième boitier discret Sony Alpha7 CII (capteur 24x36mm de 33 Mpixels) équipé d’un Sony FE 40mm f/2,5 (très bien pour la photo de rue), et d’un zoom Sony 20-70 f/4 G pour les voyages.